PROLOGUE

3 juin 2012
Cossieux – Vorey-sur-Arzon

Et nous revoilà à la Gare d’Ambérieu, point de départ d’un nouveau périple plein d’aventures !
Marcel, l’indéfectible ami a bravé la pluie tombant à verse pour nous y conduire.
Après deux changements de trains à Lyon et à Saint-Etienne, voici Vorey. Nous nous sommes fait copieusement rinçer dans la cité stéphanoise mais au fil du rail la situation s'est améliorée et il ne pleut plus. D’un pas gaillard, nous partons à la recherche des clés du gîte qui nous hébergera ce soir. Bien sûr, nous partons dans le mauvais sens. Retour sur nos pas, traversée du village à la recherche de notre abri…. Introuvable, et pourtant l’hôtel, détenteur des clés, nous a précisé que « c’était facile ». Errance dans les rues et ruelles, à la recherche d’infos. Arthur s’aventure dans une maison de retraite, Marie elle, fait du charme à un autochtone disciple de Bacchus ; finalement ce sera lui qui nous guidera jusqu’au havre de la nuit. Bien cosy, au demeurant…
Repas frugal, où nous nous octroyons un moment de dégustation d’une succulente saucisse de foie alsacienne. Le ciel s’éclaircit, le soleil pointe et  nous confère une note d’espoir de temps sec pour demain. Dodo de bonne heure.

La gare d'Ambérieu-en-Bugey au matin du 3 juin

Intérieur du gite de Vorey

Le périple

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